Je suis furieux
j'avais rédigé un joli billet, humoristique, fin, drôle, intelligent comme je sais le faire d'habitude...tout à fait improvisé sur le clavier et au moment de le valider pour publication, canalblog me fait savoir qu'il est au fond de la mine, autrement dit au charbon et qu'il travaille pour moi, mais en l 'occurence qu'il est perdu. Je ne voulais pas, la flemme m'ayant gravement atteint la semaine dernière, te laisser un week end supplémentaire sans nouvelle, je m'étais donc attelé à cette tâche avec le sentiment de faire une bonne action, qui plus est libératrice pour moi d'endomorphines destinées à me faire profiter d'un beau samedi ensoleillé, avec le sourire béat de l'italien quand il sait qu'il aura de l'amour et du vin...Bon, si tu veux savoir de quoi il s'agit, tu n'as qu'à lire ci-après, et tant pis pour toi si tu pleures, femme:
NON! Ne crois pas m'émouvoir avec tes larmes, bien au contraire, elles sont un tue-l'amour, elles me coupent ma libido, elles font chuter mon taux de testostérone, et donc mon désir s'éteint dans ton jupon! Car elles sont comme les phéromones, elles véhiculent des signaux chimiques, et le simple fait de les respirer me donne envie d'aller voir ailleurs et en aucun cas de te prendre dans mes bras consolants, forts et musclés d'éphèbe des fêtes foraines de province. Adieu le câlin réconfortant, je vais boire une bière avec mes potes.
Et tant pis pour toi si tu pleures, femme